Records: War againstt error
Softland
... http://sonhors.free.fr/kronik/top10_ ...
... SONHORS TOP 10 : ANNÉE 2005 ...
... 1 May 2006 ...
... La guerre contre l'erreur est la dernière missive en date de Christof Steinmann, un musicien suisse basé à Zürich qui cultive, malgré seulement deux albums solo à son actif, une réputation d'inclassable trublion résolument en dehors des catégories stylistiques conventionnelles. L'équation musicale de ce nouvel opus de Softland pourrait porter la dénomination de space-age jazz-avantronica. Space-age, pour le côté Kitch et les sonorités faussement naïves des synthétiseurs vintage que ne renierait pas Jean-Jacques Perrey sur certains titres ; jazz, pour l'utilisation systématique d'instruments acoustiques, de rythmes et d'harmonies complexes et enfin d'avantronica pour la capacité inouïe que possède Christof Steinmann à défricher des territoires électroniques denses et inconnus, rivé derrière son laptop et son impressionnante banque de sons.
Effets de syncope, bruit blanc, traitement numérique, démarche "électroacoustique" ou encore voix sombre et mélancolique qui rappelle celle d'Edward ka-Spel, le chanteur des Legendary Pink Dots, le cocktail fonctionne à merveille et donne à entendre de magnifiques pop songs expérimentales et parodiques, écrites entre 1997 et 2005. Ces compositions majeures sont nuancées par de brefs et étranges interludes musicaux, véritables fragments de poésie trouvée, identifiés par des longitudes et latitudes, autant d'étapes d'une collecte sonore, quelque part entre "Amsterdam, Luzern, Zürich et Buenos Aires" (dixit la pochette de l'album).
Une musique électro-organique, minimale et peu orthodoxe où l'assemblage de genres bigarrés, nous apparaît facile et logique ! Splendide et hautement conseillé. ...
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... www.ox-fanzine.de ...
... DAS GOLDENE ZEITALTER IST ANGEBROCHEN, DIE PACKUNG ZWIEBACK AUCH. ...
... 8 March 2006 ...
... „Das goldene Zeitalter ist angebrochen, die Packung Zwieback auch.“, das behauptet zumindest der Züricher Christof Steinmann. Der Herr hat Humor, der dann auch bei seinen Soloprojekt SOFTLAND stellenweise kräftig durchschlägt und „War Againstt Error“ (Spezialmaterial/Hausmusik) zu einem kompakten und abwechslungsreichen Klangerlebnis macht. Hier ist der hörbare Beweis, dass man poppige Melodien mit attraktiven Fieldrecordings verschmelzen und auch in experimentelle Strukturen noch einen ansprechenden, bewegenden Rhythmus integrieren kann. Manchmal ist der Herr ein bisschen zu übermotiviert und schießt über den natürlichen Zeitrahmen hinaus, das aber sei ihm als Privatvergnügen gestattet und verziehen. (67:37) (7) ...
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... http://www.etherreal.com/magazine/disques/?file=softland_waragainstterror ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 10 January 2006 ...
... Softland nous avait fait plutôt bonne impression aux Siestes Electroniques toulousaines en 2004. On retrouve donc Christof Steinmann à l'occasion de son deuxième album chez Spezialmaterial, soit l'occasion pour nous d'approfondir le travail de cet artiste.
En fait l'écoute de cet album nous permet de nous rendre compte que le concert qu'il donnait il y a un an et demi était tout à fait dans la lignée de ce qu'il produit sur disque. En relisant cette chronique de concert on a même l'impression qu'il jouait à l'époque l'équivalent de ce CD. On y retrouve ces sonorités électroniques ludiques, brutes, analogiques, voire kitsch, des instruments acoustiques qui se marient parfaitement à l'électronique (contrebasse, accordéon, violon, flûte), un chant parfois, assuré par l'artiste lui-même, dont deux chansons en guise d'ouverture et clôture de l'album.
Mais c'est autre chose qui fait la particularité de Softland. L'organisation de l'album pour commencer, découpé en 22 pistes, dont 7 sont des interludes, des field recordings ayant pour titre les coordonnées géographiques où a eu lieu l'enregistrement. Ces samples apparaissent ensuite dans les compositions, donnant au tout une certaine cohérence. Le ton de l'album est lui aussi assez particulier, toujours à la limite entre une certaine gravité et légèreté. L'apparition de la voix, même si elle est toujours douce et feutrée, apporte une certaine noirceur ou au moins une petite dose de mélancolie. Mais les mélodies qui semblent souvent mal assurées peuvent faire sourire, ce qui peut passer pour des maladresses, comme un gros riff de basse synthétique rend l'album attachant, et les gazouillis électroniques de Mlle font de ce titre un petit bijou d'electronica ludique et sautillante.
Softland est inclassable mais sa musique n'a rien de véritablement inédit si ce ne sont ces mélanges improbables qui semblent ici couler de source. Le Suisse fait de l'electronica dans un esprit pop, ça fonctionne à merveille, et l'expérimentation, jamais gratuite, est là pour mettre en relief son propos. Une musique pas simple pour moments simples.
Fabrice Allard
le 08/01/2006 ...
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... music-scan.de ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 30 November 2005 ...
... Man wird es schwer haben, das famos betitelte "War Againstt Error³ als Pop
zu klassifizieren, obwohl in dieser Annahme natürlich schon einiges Wahres
steckt, denn Christof Steinmann entwickelt seine "Popsongs³, die auch schon
mal gerne die 6-Minutengrenze überschreiten, sehr eingehend und
vielschichtig und schreckt auch nicht vor konventionellen Dreiklängen
zurück. Allerdings werden diese regelmäßig von noisigen und flirrenden
Subflächen unterlaufen. So entsteht im Spannungsfeld von Field Recordings,
Glitsch, analogen Sounds, akustischer Instrumentierung (vornehmlich mit
Kontrabass, Harmonium und Stimme) sowie digitalen Spielereien etwas, das
bisweilen schon die Eingängigkeit des Pop besitzt, letztlich doch aber weit
darüber hinausgeht. Zweifellos ist John Cage auch bei Steinmann nicht
spurlos vorübergegangen, denn auch er bedient sich bei der Konzeption seiner
Songs Zufallsalgorithmen und verbindet diese mit einer im Grunde sehr
amerikanischen Arbeitsweise, nämlich der des Ausprobierens, des
Trial-and-Error-Prinzips, das das Scheitern als mögliches Ergebnis
miteinschließt und sozusagen als performative Voraussetzung für jegliche
Musik impliziert.
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... TV NL3 VPRO R.A.M. ...
... EXTRACTS FROM SOFTLAND-INTERVIEW BY ARNON GRUNBERG (TEXT) ...
... 13 November 2005 ...
... De laatste Cd heeft de tergende titel: "War Againstt Error"
Christoph maakt muziek gemengd met samples die hij uit het leven plukt zoals een druïde de kruiden in het bos.
Arnon G.:
Heeft zo'n geïsoleerde klank voor u betekenis?
-Eigenlijk wel.
A: Kun je in verband met muziek wel spreken van betekenis?
-Ik vind van wel. Ik maak natuurlijk muziek of kunst in de ruimste zin van 't woord om via 'n ander kanaal iets uit te drukken als taal. Ik ben al 'n tijd bezig met 't creëren van 'n oriëntatiesysteem om erachter te komen welk geluid wat is in m'n databank. En 't helpt me om de dingen te ordenen en in 'n muzikaal verband te brengen. Daarom geef ik de dingen ook fantasienamen. Uit de kindertaal: de Tsjilper of de Onderwaterduizendpoot. Ik gebruik ze dan ook als 'n soort diertjes. Als 'n vriend van me iets laat zien op de computer, zegt hij altijd: Dan neem ik die vent en die vent en dan doe ik 'm samen met hem... Hij heeft 't altijd over mensen en ik ervaar 't als diertjes of zo een beetje amorfe amoeben.
A: Hoe is uw verstandhouding met die diertjes? Houdt u van ze? Is 't neutraal?
-Nee, ik mag ze wel. Ik vind 't leuk om er een tegen te komen die ik was vergeten. Ik ben gelukkig als ik iets maak.
A: Alleen.
-Als ik alleen ben, schrijf, de tijd heb, ook al bedenk ik 'n half uur niets. Je kunt op 'n podium natuurlijk niet een half uur lang wachten tot je 't juiste geluid hebt gevonden en de microfoon hebt neergezet en de kabels aangesloten. Ik ben gelukkiger als ik 't zo kan doen als 't moeten ook de tijd heb. ...
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... TV NL3 VPRO R.A.M. ...
... SOFTLAND-INTERVIEW ...
... 13 November 2005 ...
... TV-Programme by Arnon Grunberg
about Happiness (in Dutch and English/German with Dutch Subtitles)
Softland Interview at 23:30 mins
Real Player required
http://www.vpro.nl/programma/ram/afleveringen/24496416/
or use the (hopefully) direct link to the real player file
http://cgi.omroep.nl/cgi-bin/streams?/tv/vpro/ram/sb.20051113.rm?title=Herhaal%20uw%20eigen%20Spugen%20op%20geluk
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... Stylus Magazine ...
... SOFTLAND - WAR AGAINSTT ERROR / THE VILLAGE ORCHESTRA - ET IN ARCADIA EGO ...
... 5 November 2005 ...
... Softland/The Village Orchestra
War Againstt Error/Et In Arcadia Ego
Spezial Material/Highpoint Lowlife
Two new albums from Zürich-based Christof Steinmann and Glasgow-based Ruaridh Law up the ambient electronic ante with different, yet equally fascinating results. Respectively eerie and lush, both offer up a spine-tinglingly original sound.
Once upon a time you could throw a music geek through a record shop and not hit a single ambient electronic album. These days they’re everywhere, the geeks and the records. Lo-fi indie electronic records that might’ve been limited to demos or murky mail order swaps years ago now get proper releases through niche labels and the power of the world wide web.
And there are huge numbers of these specially packaged delights, on homemade seven-inch singles and stencilled CD-Rs. The very nature of these sketches means many are ill-conceived, poorly-followed-through musical brushstrokes inspired more by the ease of production and distribution rather than the thrill of creation and self-expression.
The two records on offer here, on the other hand, are the latter. Brief, elegant vignettes that offer a reflection of something greater. If there’s a criticism to be levelled, it is that both are sketches, mere memories of a moment or place. Somehow I’m glad both kept a record.
Steinmann’s wittily typo-ed second album as Softland represents eight years worth of audio diary entries. That’s not to say it all works in the abstract; “Huch”’s deep groove wouldn’t be out of place in Ricardo Villalobos’s record collection, though squealing flutes, reversed vocals, acoustic bass and alarm clock bleeps shift the emphasis to a weirder place. “All The Nows We’ve Had” is similarly upturned techno, its skipping repetitions pointing towards a stark melancholy.
Acoustic instruments and vocals reminiscent of Tarwater’s deadpan stamp Steinmann’s work, its dark ambience belying the natural providence of much of his source material. A sense of time and place weighs heavily as he interlaces lo-fi pop, jazz techno and sharply dissonant rhythms with nine short field recordings (cows, crickets, car doors, and ringing phones to name a few) titled using UTM coordinates for the recording location. Whether that’s simple pragmatis—fattening the shorter vinyl release up for CD sale—is beside the point. Instead of a simple selection of tracks, it develops into a broader composition across the album’s length; the field recordings and musical collage meting out the years. (...) ...
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... The Wire Magazine ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 22 October 2005 ...
... By Matthew Ingram
Softland is Christof Steinmann, multimedia dabbler and audio visual artist, and the cheeckily monikered War Againstt error is his second release for the widely praised Swiss Spezialmaterial imprint. With its generic minimal 'glitch-art' sleeve graphics (a tasteful collage of pixellated print and elegantly stroked vectors) you know precisely the kind of charmingly low-key, faintly unprepossessing sounds that are going to emanate from it.
Hurdle the first track "Please Confirm The World", with its offputting 'Sylvian with a sore throat' vocals, and you have 21 essential lovely tracks stretched out before you. The reason qualification is required is that "Meter" (skippy bleep patterns meet Bebe Barron-style drones), "Moiré" (Eno-isms), "Mlle" (gyrating electro-harmonies) and "Wlochy" (fangless post-Fungle beats), while unassumingly excellent, don't exactly burn down the house, mess meaningfully with any templates or provoke much more than a tacit approval. It's a wearingly familiar case of underachieving, carefully cloistered electronica. The pretentious interstitials, field recordings marked by their map reference numbers "44°50'N 14°25'E" and "46°32'N8°21'E", though sonically appropriate, contribute to the general air of preciousness.
But some more attractive elements deserve recognition – the springy World Of Echo-style double bass on "Huch" and "Llum" reverberates down through the fathoms of the music to quite powerful and poignant effect. Touches like these push the record into the black, and it's only a shame there isn't more use of the instrument elsewhere on War Againstt Error. ...
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... Spex ...
... LOFI-POP-AUGENZWINKEREIEN ...
... 18 October 2005 ...
... Melancholie und sprudelnde Beats finden sich unter anderem auch auf dem zweiten Album des Schweizers Christof Steinmann als SOFTLAND. «War Againstt Error» (Spezialmaterial/Kompakt/Hausmusik/Hardwax/Possible) trägt den Error schon im Titel und ist eines dieser Alben, die ein ganzes Spektrum von möglichen elektronischen Musiken aufspannen: von LoFi-Pop-Augenzwinkereien bis hin zu versonnenen Soundscapes, zwischendurch immer wieder unterbrochen von Field Recordings. ...
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... www.tastyfanzine.org.uk ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 18 October 2005 ...
... War Againstt Error is the second album from Christof Steinmann recording as Softland. Moody, melancholy and hard to pigeonhole as belonging to one particular style of music, War Againstt Error displays flashes of interest but ultimately failed to press the right buttons for me as an album – I enjoyed bits of it but I won’t be rushing to listen to it as a whole album again too soon. There are plenty of weird noises on this album; field recordings combine with digital instrumentation and acoustic instruments to create dense rhythms around which Softland weaves his creepy vocals.
Pop, electronica, electro and minimal influences rub shoulders throughout the album but the tunes that work the best are the ones that seem to focus more on one style rather than the ones that attempt to combine many styles. With this in mind, ‘huch’ is a wonderfully odd minimal house (or techno tune, depending on which side of that particular fence you sit on). ‘Huch’ is like something Ricardo Villalobos might conjure up if he was feeling a bit weird. With its reversed vocals, reverberating double bass and the slightest of 4/4 kick drums it’s one of the more restrained tracks on the album. I like. ‘All the nows we’ve had’ also struck a chord with me; this tune is down right wicked. The nagging staccato synth line, deep, brooding strings and punchy, broken kick drum create a powerful, tense atmosphere as the background noises and, eventually, that double bass again, swell. I held my breath listening to this and wondering what was going to happen (and kind of hoping for a fat 4/4 beat to drop). Cleverly, or perhaps predictably, no 4/4 appears and the tune dies out leaving you wanting more – good shit. From this point on I began to seriously lose interest as tension and restraint make way for noodly introspection and uncomfortable electronica. I do have to make space in this review for a special mention of the recordings of sheep on ‘heute’; this made me smile – an artist claiming to use field recordings who actually uses genuine field recordings.
War Againsst Error is definitely worth listening to for the good bits but forgettable for the bad bits.
Frazer Shelton ...
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... www.lunakafe.com ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 18 October 2005 ...
... Christof Steinmann's solo project is the wistful electronica heard on this album. "Please Confirm the World" drifts by with bird noises, glitchy sounds and a sad vocal. "Moire" starts with an accordion and continues to sound like a small French café at dusk, passersby talking. "Huch" sees a distant voice wander amid hissing noises and rhythmic sounds. We end with "Envers" a sweet number which sees Steimann tap into the chanson tradition only to shatter it into tiny fragments with his modern sounds. It's alive and daring music. This charming album deserves to be heard by many. Anna Maria Stjärnell ...
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... www.electronique.it ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 17 October 2005 ...
... La Spezialmaterial è una label molto d'avanguardia per il panorama svizzero, ormai forse troppo proiettato verso movimenti che badano più ai numeri che alla sostanza.?La coraggiosa scelta di dar spazio ad artisti "di casa", portavoci di suoni e strutture più tipicamente sperimentali non può che donargliene lustro.?E' così che Christof Steinmann in arte Softland giunge al suo terzo lavoro in studio, il più colto e maturo, dove il frutto delle sue esperienze nel campo della composizione musicale vengono esaltate e messe in luce in questo album che conta 22 solchi, suddivisi in 15 traccie e 7 micropassaggi. Una ricerca riuscita della forma canzone, prendendo il termine, ovviamente, con le dovute maniere. Infatti sempre di elettronica parliamo, ed in alcuni casi estrema e delirante (All the nows we've had), ma che in ampia scala tende a mantenersi intima e delicata, sfruttando al meglio l'utilizzo della voce, fornita dallo stesso Steinmann (Please confirm the world, ich hab dir nachgedacht). Nel crescendo dell'album avviene una mutazione sonora che trasforma le composizioni, prima lineari ed ordinate, in giochi per ragazzi, servendosi di campioni riconducibili ad ormai datati videogame, (Hopla, Immer beides, Envers). Un messaggio chiaro e preciso, che vuole sdoganare l'elettronica da quell'angolo buio nel quale è costretta a nascondersi, noi gliene diamo atto, e promuoviamo in pieno questo lavoro!
liquid ...
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... kommerz.ch ...
... FETZEN TRAUM IN DIE SZENEN MISCHEN (INTERVIEW) ...
... 13 October 2005 ...
... / Softland alias Christof Steinmann über den Krieg gegen den Terror, Fehlerkultur, Spezialmaterial und den iPod Shuffle.
Dein Albumtitel «War Againstt Error» spielt ziemlich offensichtlich auf die Bush-Administration und ihr immer neu umdefinierte Krieg gegen Terror an. Inwiefern kann elektronische Musik solche Weltvorgänge überhaupt kommentieren?
Direkt kommentieren aus weltpolitischer Sicht sicher nicht. Ich habe eh eine Aversion gegen Texte mit einer Message, ob das nun «You gotta be strong» oder «Peace to the world» sei. Eine Message funktioniert irgendwie nur mit einer gehörigen Prise Ironie, die impliziert, dass dann alles doch nicht ganz so eindeutig ist. Sonst kippt's schnell ins Hohle. Die Folgen sind dann natürlich umso katastrophaler, je grösser Selbstüberschätzung desjeningen mit der Message ist... Ich gebe mit dem Titel ein persönliches Statement ab im Sinne von «Je m'en fous de vos idées»: Die Idee, gegen soziale Strukturen, aus denen Terroristen herauswachsen, Krieg zu führen und zu glauben, damit irgendein Problem auch nur halbwegs in den Griff zu bekommen, ist dermassen absurd, dass man schon gar nicht auf eine Argumentation auf diesem Niveau eingehen mag. Ein reiner Rückzug ins Private solls dann aber (schon wegen der katastrophalen Folgen) auch nicht sein, obwohl eine gewisse Introvertiertheit oder Verschrobenheit bei vielen Tracks dazugehört, aber mehr im Sinne eines Spiels, so wie Kinder in ihre Ding versinken und die Welt nach eigenen Regeln neu erfinden, obwohl sie natürlich eigentlich wissen, dass sie anders funktioniert. Man braucht einfach solche Gegenwelten.
Gegen welche Fehler führst du denn genau Krieg?
Der Album-Titel «War Againstt Error» spielt einerseits auf den kreativen Umgang mit Fehlern beim Schreiben der Songs an: Zufälle und Fehler sind kleine Ausbrüche aus dem Raster, die mich auf unerwartete Ideen bringen. Man ist ja oft zu dumm, sich wirklich Komplexes oder Neues vorzustellen, der Zufall hilft einem da auf die Sprünge. Vielleicht liegt da wieder ein
Zusammenhang zu dem grossen Versuch, der Welt ein System überstülpen zu wollen: Funktionieren tuts im kleinen und wenn, dann oft nicht so, wie man es eigentlich erwarten würde. Der Tippfehler im Titel ergibt den eigentlichen Sinn, wie die leichte Verschiebung im Beat den Groove. Musik lebt von Strukturen, Regeln, die dann wieder gebrochen werden können. So funktionieren Rhythmen, Harmonien – ich spiele einen Ton und einen zweiten dazu, der mit dem ersten eine Beziehung eingeht: Wiederholung und Unterschied. Ab dem dritten Ton ist ein Rhythmus oder Akkord erkennbar. Darauf lässt sich aufbauen und es entweder weiterführen oder brechen, damit spielen. Alles aus sich selbst heraus gewachsen und definiert und ständig im Fluss. So ähnlich funktiert eine Gesellschaft ja auch: Ein paar Leute kommen zusammen und müssen irgendwie miteinander auskommen, da treten Reibungen auf, es können aber auch tolle Projekte entstehen. Wenn ich meine Musik nicht von irgendwelchen vorgegebenen Mustern vereinnahmen lasse, mache ich damit irgendwo schon auch ein politisches Statement, so sehe ich das jedenfalls: Freiere und komplexere Strukturen stehen da für eine weniger normierte Art von Zusammenleben. Einfach mal machen – und wenn es zu bunt wird, kommt die Quantifizierungs-Polizei vorbei... Der Satz, den ich hinten auf die Platte geschrieben habe - «Das goldene Zeitalter ist angebrochen; die Packung Zwieback auch» - ist auch so ein Zufallsprodukt und bringt nochmals auf den Punkt, wie lächerlich grosse Würfe oft sind, und wie wenig sie letztlich mit unserem Alltag zu tun haben und damit, wie wir die Welt erleben.
Für dich scheint Musik also auch politisch zu sein. Viele Entertainment-Künstler tun sich aber sehr schwer mit dem Politischen und streiten jede politische Deutung ihrer Werke ab. Kannst du dir erklären, weshalb?
Es gibt da natürlich diese populistische Haltung, die es sich sehr einfach macht, ins gleiche Horn zu blasen, wie es eh schon alle tun, im Schlepptau von Michael Moore usw. Dann U2, die in missionarischem Eifer nicht übers Klischee herauskommen. Es fragt sich aber natürlich überhaupt, inwiefern man ab einer gewissen Bekanntheit sein Publikum überhaupt noch erreicht. Diese Leute sind ja im Prinzip ein Produkt. Die Masse kauft sich mit der Musik ein Lebensgefühl, das vielleicht sogar eine politische Haltung mit einschliesst. Die geht dann aber meistens nicht viel weiter als Folklore, links wie rechts. Da macht es in einem kleineren Rahmen viel mehr Sinn, auch direkt politisch Stellung zu beziehen, ich denke da an Leute wie Göldin. Ohne Texte wird das aber schnell schwierig, man stärkt allenfalls ein bestimmtes soziales Umfeld und damit auch eine bestimmte Einstellung zur Gesellschaft. Andererseits: von einem Schreiner wird ja auch nicht verlangt, dass er mit seinen Tischen Politik macht. Aber er kann, indem er seine Tische anständig baut, den Leuten eine Haltung mitgeben (sic!). Jeder soll das, was er macht, anständig machen, meine ich, das geht am besten.
«War Againstt Error» baut ja auf sechs Popsongs auf, trotzdem kommt das Album eher wie eine durchgehende Soundmontage rüber. Aber eigentlich ist es doch ein Popalbum – ziemlich ungewöhnlich für Spezialmaterial?
Nicht mal so ungewöhnlich. Klar ist der SM-Mainstream rein elektronisch, aber jeder macht, was er will, diese Freiheit nehmen wir uns im Austausch zur Arbeit, die wir ins Label stecken. Spezialmaterial war von Anfang an nicht als reines Elektronik-Label gedacht, visuelle und installative Elemente haben ebenso Platz wie andere Stile. Ein neues Releases ist irgendwo neben den klassischen Electronica-Releases als abgefuckte Hiphop-Platte angesiedelt, Sissikontest (von denen noch nichts herausgekommen ist) geht dann eher Richtung Folk. Das ist aber alles relativ. Ich nenne das, was ich auf der neuen Platte mache, Pop – für jemand, der eine «normale» Auffassung von Pop hat, klingt es dann aber wohl doch zu schräg. Vielleicht Meta-Pop? Ich orientiere mich vom Standpunkt Electronica aus an den zwei Polen Klub und Pop und versuche als breiter Musikhörer offen damit umzugehen und eine eigene Sprache zu finden. Oder so: Der misslückte Versuch, mit elektronischen Mitteln einen Jazzlauf zu programmieren, ergibt zwar weder Jazz noch Electronica, hat aber trotzdem mit beidem was tun. So ergeben sich merkwürdige Hybridformen zwischen Genres, die im besten Fall etwas Neues und Eigenes ergeben. Diese Öffnung machts erst interessant: Wenn ich nicht mehr weiss, in welche Schublade etwas gehört, muss ich anfangen, wirklich zuzuhören. Bei mir fängt das schon bei der Wahl der Mittel an, wo ich recht unverfroren akustische und elektronische Quellen aus den verschiedensten Kontexten mische. Ich bin ja eigentlich auch zunächst einmal Hörer.
Hast du bewusst an einem Konzeptalbum gearbeitet?
Schon, und auf jeden Fall viel stärker als bei der letzten Platte, die mehr eine Sammlung von autonomen Stücken war. Es fliessen natürlich mehrere Konzepte ineinander und überlagern sich. Ich benutze das Pseudonym immer auch als Rollenspiel: Ich ziehe mir eine bestimmte Haltung über, stelle mich vielleicht taub gegenüber Aspekten, die ich nur allzu genau kenne, und reagiere auf eine bestimmte Art auf Sachen, die im Studio passieren. Je länger ich damit arbeite, desto deutlicher kristallisiert sich diese Rolle heraus, ähnlich wie ein Schauspieler allmählich in die Figur hineinwächst, die er spielt. Von einem Teil der Kernstücke des Albums (die sechs, die in anderer Reihenfolge auf Vinyl herauskommen) gibt es Versionen, die ich vor Jahren noch auf dem Atari gemacht habe; mit einer gewissen Distanz fällt es dann natürlich auch leichter, zu sehen, worum es da geht und wie man das nochmals deutlich herausschälen kann. Softland hat durch die Arbeit an dieser Platte für mich ein so klares Profil bekommen, dass daneben auch wieder ein Freiraum entsteht, aus dieser Rolle zu schlüpfen und vielleicht unter einem zweiten Pseudonym in eine andere Richtung zu gehen. Wenn ich an Installationen arbeite, mache ich das ja unter meinem eigenen Namen.
Was sind denn die Haupt-Stilrichtungen?
Dass ich von diesen sechs Popstücken ausgehen würde und sie mit field recordings kombinieren würde, war mir von Anfang an klar. Daneben enthält die CD jetzt auch Stücke, die bewusst rougher gehalten sind, wo ich zugunsten der Momentaufnahme nicht lange an den Arrangements gefeilt habe, um dafür die Direktheit, wie sie entstanden sind, mitzunehmen. Mit dem Ineinanderverflechten dieser drei Elemente ist dann ein grosser Guss entstanden, der nochmal einen neuen Aspekt bekommt: Ich denke, «War Againstt Error» ist klar ein Zuhöralbum, im Hintergrund nervt es auch mal. Wenn man sich darauf einlässt und die Platte am Stück hört, ermüdet man durch die Länge allmählich und kommt an einen Punkt, wo man sich mittreiben lässt. Das interessiert mich, diese halbaktive Hören, wie während des Films ein bisschen einzudösen und Fetzen Traum in die Szenen zu mischen.
Halbaktiv heisst doch aber auch halbpassiv. Bist du als Musiker nicht auf hellwache Zuhörer angewiesen?
Gerne aufmerksam und ganz, aber der Verstand kann auch im Weg sein. Am besten ist es doch, wenn man unerwartet und hinterrücks mit Hühnerhaut eingedeckt wird. Oder wenn man immer wieder loslässt, sich in der Zeit verliert, im Sound aufgeht. Manche Musik braucht dieses Moment: Morton Feldman oder Steve Reich, die einen mit fast nichts bzw. mittels einem komplexen Muster das Vorher und das Nachher vergessen lassen. Ich höre am liebsten Musik im Tram.
Wie erlebst du das Kunstpublikum, wenn es deine Installationen besucht? Ist dir das CD-Publikum lieber?
Kommt darauf an, welches. Vernissagen mag ich nicht besonders, besonders eigene, vielleicht hab ich auch deshalb eine zeitlang wenig in diesem Bereich gemacht. Ich bin selber sehr gern mit wenig Menschen in einem Kunstraum oder habe Zeit und gute Kopfhörer dazu. Das sind die Situationen, die ich mir bei der Arbeit vorstelle. Daneben mag ich aber auch das Konzert, wenn es Raum für die Improvisation lässt, mit dem Raum und den Leuten etwas anstellt. Dafür ist es dann wieder fast besser, in einer Kunsthalle zu spielen, weil die Leute ohne fixe Erwartung kommen, was sich jezt abspielen wird. Man ist freier, auszuprobieren, ist nicht an das relativ starre Muster gebunden, das der Klub darstellt. Jedenfalls mag ich es überhaupt nicht, wenn keine Stille möglich ist, weil es dann niemand mitkriegt.
Wie siehst du die aktuelle Club-Situation in Zürich?
Bogen13 und die Boschbar waren schon die Orte, wo etwas möglich war, die fehlen immer noch. Ich bin jetzt aber in letzter Zeit auch nicht so viel unterwegs gewesen. Die oft guten Sachen im Dachkantinen-Programm gehen leider regelmässig in einem Publikum unter, das wegen was anderem da ist und auf den Bunzibunzi-DJ wartet. Ausnahme: Takeo Toyama. Kreidler z.B. sind unter die Räder gekommen. Letzten Winter hab ich in der WIM die interessantesten Sachen gesehen. Einfach machen!
Welche Musik hörst du zurzeit?
Seit es MP3 gibt, habe ich oft das Gefühl, mehr in die Breite als in die Tiefe zu hören; querzuhören, weil plötzlich so viel verfügbar ist. Dafür überrascht mich der iPod shuffle immer wieder mit unglaublich perfekten Kombinationen, auf die ich nie gekommen wäre, oder ich will unbedingt schnell nach Hause, um am Compi nachzuschauen, was das war, das ich eben im Tram gehört habe (obwohl es ja aus meiner Sammlung kommen muss). Das ist es wert. Die letzte CD war «True Delusion» von Andrey Kiritchenko, ausserdem Barbara Morgenstern und Robert Lippok, Juana Molina, Sam Prekop, Tape, Johann Johannsson, Alva Noto und Ryuichi Sakamoto, Takagi Masakatsu, Coralie Clément, Anouar Brahem, Komeit, Contriva, Can und kürzlich entdeckt This Heat. Dann immer wieder Mice Parade , alter Tango von Pugliese z.B., dann höre ich dem Regen zu und werde jedesmal ganz glücklich, wenn irgendwo Astrud Gilberto leicht falsch aus den Boxen singt und seit Tagen läuft mir (nach zwei Wochen «007» von Desmond Dekker) jetzt unfreiwillig ein Refrain von Phenomden nach.
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... Dutch National Radio NPS 4FM ...
... MUZIKALE DELICATESSEN ...
... 13 October 2005 ...
... Iets experimenteler is de sound van de 34 jarige Zwitser Christof Steinmann. Zijn tweede CD biedt een dwarsdoorsnede van zijn kunnen: lo-fi popsongs wisselen zich moeiteloos af met korte soundscapes en experimentele kruisbestuivingen tussen folk en elektronica. De CD heet 'War Against Error' en als artiest gaat hij door het leven als Softland.
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... intro.de & kommerz.ch ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 13 October 2005 ...
... Softland, das ist Christof Steinmann aus Zürich, der schon mit seinem Electronica-Debüt "One Is A Very Small Crowd" Anwärter auf den Musikindustrie-Trostpreis "Bester Albumtitel" gewesen ist. Kein Schreibfehler: "War Againstt Error" bezieht sich zum einen auf Steinmanns Arbeitsweise, Fehlerkultur im Schreiben der Tracks zu leben, und will andererseits fehlgeleitete politische Weltentwürfe benennen - hallo Kalauer. Trial and Error, eigentlich ein Konzept der Wissenschaft und Kunst, scheint in letzter Zeit auch die Politiksphäre zu beherrschen: Lösungen nach der Irak-Besetzung scheinen nicht in Sicht, Englands Polizei schießt einen Verdächtigen, der eine für den Sommer viel zu dicke Jacke trägt, nieder, und in Berlin darf wohl bald jemand anders an die Baisse ran. Softland verweigert sich, im Krieg gegen den Fehler, feststehenden elektronischen Musikordnungen hier insofern, als dass er aus einer breiten Stilpalette schöpft und gleichzeitig erfolgreiche Entwicklungen der letzten Jahre wie Datapop-Chanson oder Ein-Mann-Lo-Fi-Popsongs cool ironisiert. Den "Softwaremissbrauch" und die "Zufallsalgorithmen" schiebt Steinmann zuweilen aber auch als Ausweg aus den Sackgassen vor, die sich ergeben, wenn man nicht wirklich Herr über seine Instrumente ist. Das für seine vertrackte und zuweilen aggressive Elektronikmusik bekannte Zürcher Label Spezialmaterial gibt sich hier auf einmal zurückhaltend: eher Pop als Club, eher Varieté als Konzert. Sechs Popsongs sind als Kernstücke enthalten, der Rest geht als melancholische Soundscapes, Schnipselarbeiten oder Field-Recordings dazwischen. Besonders die Field-Recordings hätten die behutsam politische Platte mit expliziteren Statements verstärken können. Als vorwiegender Eindruck bleibt jedoch die stellenweise atemberaubend intensive und doch flockige Soundmontage zurück, die über 22 Stücke andauert und mit akustischen Instrumenten wie Kontrabass oder Harmonium versetzt ist. ...
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... gridface.com ...
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... 12 October 2005 ...
... While Softland’s excellent 2003 album One Is a Very Small Crowd was reminiscent of videogame music, War Againstt Error [sic] finds Christof Steinmann branching out into more abstract fare. The opening track, with nearly monotone singing, is an odd start. The more instrumental tracks are better. “Moire” is soft, glitchy, and melodic. “All the Nows We’ve Had” successfully mixes plucked acoustic strings with layers of computer-generated clicks and beats. On “Huch,” distorted vocals accompany wandering cello and flute. It’s a unique, disquieting combination (which probably won’t lend itself to repeated listens). After a few short, discordant cuts, “Mlle.” marks a return to Small Crowd’s 8-bit aesthetics, adding a chorus in French and some garbled bass. The journey ends as it started, with a mumbled song. Throughout the album, longer tracks are interspersed with brief interludes named after latitude and longitude coordinates.
While I appreciate Softland’s experimentation intellectually, I have mixed feelings about the results. This LP’s not an easy listen. Sometimes this album’s charming, other times it’s grating. Still, it’s worth a listen.
Aug 31, 2005 by Jacob Arnold ...
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... textura.org ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 12 October 2005 ...
... Though Softland's War Againstt Error doesn't defy description, it does defy categorization. As eccentric, eclectic, and densely packed as Zürich-based Christof Steinmann's 2003 debut One Is A Very Small Crowd, the new work includes twenty-two exercises in aural cubism (nine of them fragmentary vignettes with seven titled using UTM coordinates) written between 1997 and 2005, very few of which conform to conventional stylistic categories. These playful, at times bewildering settings—by turns lo-fi pop, space-age jazz-techno, labyrinthine electronica—feature melodies and instruments that constantly spiral into conflicting directions, making for disorienting listening. In addition to field recordings which imbue the material (especially the interludes) with a definite sense of place (car door slams, crickets, crowd noise, and phone rings intermittently surface) Steinmann combines acoustic instruments (the double bass especially prominent) with bold electronics. The work as a whole intercuts fleeting vignettes with extended scenes in montage-like form—an openly experimental approach to composition that somehow avoids lapsing into incoherence; strangely, a melancholy ambiance often emerges despite the seemingly dissonant combinations of prickly timbres (i.e., the unconventional coupling of lamb bleating, tinkling glasses, and swooping glissandi in “Heute”).
Techno may be a vaguely discernible touchstone but the music extends so far beyond the genre the recording ultimately inhabits an alien universe all its own. In “Huch,” for example, the 4/4 techno is so straightforwardly presented the effect is jarring, though predictably Steinmann gives the material a bizarre twist by adding backwards vocal effects, soloing (and bowed) acoustic bass, and recorder flutter. Likewise, “All the Nows We've Had” features an underlying rhythm that could almost be called techno, if the bass drum accents didn't keep re-positioning themselves. The activitylevel in a single song can be remarkable, a case in point “Please Confirm the World” which opens with a weave of whistling, recorder, and—new for Softland—soft male vocal utterances, the sonic array gradually growing into a meandering mass that retains an elegiac feel despite its conflicting elements; as the piece draws to an end, an acoustic bass solos loudly atop a field of vocal syllables before being buried under a dominating smear of glitch. Unlike much of the material, the noisy synth-pop waltz “Mlle.,” augmented by Steinmann's gentle voice protestations of amour (“Je t'aime”), flirts closest with conventionality. Even song titles— “Llum,” “Immer beides.” —are strange. Is War Againstt Error odd? Yes. Unusual? Definitely. Yet also captivating, engrossing, and unique.
September 2005 ...
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... sonhors.free.fr ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 12 October 2005 ...
... La guerre contre l'erreur est la dernière missive en date de Christof Steinmann, un musicien suisse basé à Zürich qui cultive, malgré seulement deux albums solo à son actif, une réputation d'inclassable trublion résolument en dehors des catégories stylistiques conventionnelles. L'équation musicale de ce nouvel opus de Softland pourrait porter la dénomination de space-age jazz-avantronica. Space-age, pour le côté Kitch et les sonorités faussement naïves des synthétiseurs vintage que ne renierait pas Jean-Jacques Perrey sur certains titres ; jazz, pour l'utilisation systématique d'instruments acoustiques, de rythmes et d'harmonies complexes et enfin d'avantronica pour la capacité inouïe que possède Christof Steinmann à défricher des territoires électroniques denses et inconnus, rivé derrière son laptop et son impressionnante banque de sons.
Effets de syncope, bruit blanc, traitement numérique, démarche "électroacoustique" ou encore voix sombre et mélancolique qui rappelle celle d'Edward ka-Spel, le chanteur des Legendary Pink Dots, le cocktail fonctionne à merveille et donne à entendre de magnifiques pop songs expérimentales et parodiques, écrites entre 1997 et 2005. Ces compositions majeures sont nuancées par de brefs et étranges interludes musicaux, véritables fragments de poésie trouvée, identifiés par des longitudes et latitudes, autant d'étapes d'une collecte sonore, quelque part entre "Amsterdam, Luzern, Zürich et Buenos Aires" (dixit la pochette de l'album).
Une musique électro-organique, minimale et peu orthodoxe où l'assemblage de genres bigarrés, nous apparaît facile et logique ! Splendide et hautement conseillé. ...
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... neural.it ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 12 October 2005 ...
... Sotto il moniker di Softland, Christof Steinmann, musicista svizzero di base a Zurigo, articola ibride forme sonore, esperimenti vocali di tenue glitch-pop (in 'Please Confirm The World') che evolvono presto in rarefatte concrezioni space-age. Al suono di sintetizzatori d'annata con cipiglio quasi elettroacustico ed influenze lo-fi minimal, sono molti i passaggi dilatati che riprendono poi con melodie quasi chiesastiche o con intermezzi folktronici. Trattamenti dai toni fintamente na•ves, disorientanti se non si è avvezzi a tali ellissi. Sono ben ventidue le tracce, comprendendo pure i 7 brevissimi interludi. Solo con i sei pezzi vocali si sarebbe potuto confezionare un altro album, ma alla fine è apprezzabile il tentativo di tenere tutto assieme, appagato nell'iterazione curiosa di field recordings, momenti autorali ed alchemici, che derapano poi nella seconda parte dell'album verso elettroniche-giocattolo, bleep da videogame e marcette sbirule. Abuso audio-sonico di chi per molte ore rimane come imbalsamato di fronte al suo laptop.
Aurelio Cianciotta
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... loop.cl ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 12 October 2005 ...
... Christof Steinmann es parte del colectivo de músicos y diseñadores vinculados al sello suizo Spezial Material que estuvieron hace dos años en el Festival "Patagonia" en Coyhaique, Chile y el año pasado en Buenos Aires.
"War Against Error" es el segundo álbum de Softland en el sello después de "One Is A Very Small Crowd" que fue escrito entre 1997 y 2005 en las ciudades de Amsterdam, Lucerna, Zürich y Buenos Aires. Contiene 22 temas en los que se aprecia a Steinmann cantando en algunos de éstos. Precisamente esta veta como cantante le da un matiz interesante a la música de este artista audiovisual y músico residente en Zürich. Además combina los sonidos análogos con los digitales, los registros de campo, el armonio, bajo, voz y registros de campo. Esta diversidad de instrumentos y técnicas hace que este disco tenga distintas vertientes. Desde la electronica, el pop, los ruidos abstractos, creando atmósferas cinemáticas y fragmentos armónicos y microritmos.
Texto Guillermo Escudero; Septiembre 2005 ...
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... www.staalplaat.com/vital/ ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 12 October 2005 ...
... This is my first encounter with Christof Steinmann's project Softland, who presents his second CD 'War Againstt Error', following 'One Is A Very Small Crowd' from 2003 on the same label. Steinman, from Switzerland, studied both music and visual arts. Six pieces on his second CD were composed between 1997 and 2005, to which he added a bunch of new ones. Steinmann plays various instruments such as double bass, harmonium, recorder and voice) and adds those to a blend of analogue and digital sounds. He's not, his own claim, greatest player of the instruments, but the computer knows how to fix this. It's there where Steinmann creates his music mostly and he is quite good at his job, but it's seems to be hard for him to make a decision what he wants: his music is all over the place. From lounge-like tunes to more techno inspired pieces and even a bit of folk music here and there. Plus there are seven pieces of 'field recordings' (indicated by their GPS positions). This CD has a cou ple of very nice tracks, save maybe for the ones in which he tries his voice, and has cinematic qualities. It's all a bit scattered over the place, but certainly a very nice album. (FdW)
Address: http://www.spezialmaterial.ch
Vital Weekly #490 ...
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... boomkat.com ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 6 October 2005 ...
... With a spell-check debilitating title, 'War Againstt Error' is the latest missive from the far-too-talented-for-his-own-good Christof Steinmann. As well as recording under the Softland moniker, Steinmann is a well worn fixture on the Zurich arts scene and studies audiovisual arts in Amsterdam, placing him in the perfect position to produce unlistenable avantronica. Thankfully he declines. Based around six extended "experimental vocal pop songs" (bolstered considerably on the CD by a shed load of field recordings), 'War Againstt Error' plays not unlike an electroacoustic meets minimal lo-fi soundtrack LP... Opening with the glitch-folk of 'Please Confirm The World', Steinmann strikes an intriguing pose that sees him landing somewhere between Roman, Boy In Static and label mate HP Stonji, with infectiously successful results. Elsewhere, 'All The Nows We've Had' goes for that epic "everything churning" sound, and comes of an awe-struck treat, 'Huch' sounds not unlike a male version of Michaela Melian seasoned by 'Kid A', whilst 'Mlle.' manages to combine Cornelius, Mike Patton and Ol' Dirty Gainsberg to moreish effect. Closing with 'Envers' (an Isopropanol laced 6 minutes of sweeping electronica and half heard solipsism), 'War Againstt Error' consummately proves why the Spezialmaterial collective demand such widespread and thoroughly deserved praise.
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... warpmart ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 6 October 2005 ...
... An interesting imaginative and playful album that's got its touchstone in electronica but takes in lo-fi pop,acoustic instrumentation, spaceage jazz-techno, electronica melodies and sounds making for disorienting listening. In addition the music has spliced in unexpected field recordings which imbue the material (especially the interludes) with a strange melancoly ambience. Very good.
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... tesselate.me.uk ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 6 October 2005 ...
... O!. New spezialmaterial, and yes that is damn fine. This release comes direct from the mind of Christof Steinmann aka Softland, and with 22 tracks, that has one big skull holding it in.
"Please confirm the world" churns and rotates into your eardrums, with an almost ghostly distance mumbling which is broken apart by a super zingy skippy bounce whistle/laser which in reality is just messing around and jumping all over the place. This is all woven together by the calculating vocals and electronicified folk stylings which have you entranced for the full 6min 50 of the track.
"Meter" is the smallest castle in this world, so small that is floats around effortlessly in its own juice (its made of ice). The crazy crazy melody has you picturing a twisting piece of plastic in your mind, which is slowly melting in the glare of the midnight sun, whilst plinking and plonking shards of frozen water rain down from above like a dead pteradactyl falling from the sky into your head. For the crazies out there.
"All the nows we had" injects a slow brooding sample of everyday noise into the mix, with human voices that can be slightly made out over the pulsing heartbeat that has been stolen from the slightly furry chest of a glitching honeybee, whilst the dreams of an orchestra are played out over a landscape tearing bassline, which is deep and dark for all you nightheads out there. This one turns into a zappy tour de force that deserves to be heard. Excellent.
Small and emerging from its compact sleeve this one is already smiling at you, get ready to wave back at " entre chien et loop" as you have nowhere to run. This one is 02.48 piped from the bowel of a fuel cell, that has been resting in a pool of cider for an entire summer weekend, and has just now managed to get to its feet, but is already off balance and certainly not in any kind of form to fuel a speeder bike....that crazy loon.
"Wlochy" on the other hand is a handmade expedition into the secret brains hidden inside everyday equipment, which you never normally notice, its very secret. Electric scratchy pulses and a thud whack bassline coated in a minature whirlwind of high pitched whistles and ghost house sounds directly from Super Mario World, just goto show what you have let yourself into. (Get the cape and fly to the switch tower)
"Nullnummer" clears your mind for 5 seconds with the richest fuzz alarm you have ever heard, just before "envers" drops into view. This is pure development from the beginning, with a plodding 8 bit esque alarm which is then coated in acid style stabs and a floorboard shredding squelch, that really does you reaching for the 1up above you. Smooth and calm french vocals lay down exactly what they set out to do, until the glitchy punches, bounce and flip around with an LED exploding pip joining in for the hell of it. This is real maze destroying stuff, but I dont know why. Mad track.
War Against Errorr is like an inspiring piece of artwork, sitting calmly against the white space expanding walls of the gallery, it has you listening and looking, and you lose all awareness of time and space. Rich, masterful and layered with direction, and keeps your attention in the right place.
Once again SM show you what they are all about, and why they are on top of their game. Hyper release.
Sam
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... dotshop.se ...
... WAR AGAINSTT ERROR ...
... 6 October 2005 ...
... Softland is a solo project with a determined do-it-yourself mentality. "War Againstt Error", Zürich-based Christof Steinmann’s second album after his debut "One Is A Very Small Crowd" (2003), consists of six longer experimental pop songs written between 1997 and 2005. The stylistic bandwith spans from melancholy lo-fi popsong and datapop chanson parody to bewildering soundscapes that unexpectedly morph into intricately arranged electronica-tracks in full cinemascope format. All tracks share a certain tendency towards eclecticism, apparent in opulently playful song structures and an almost outrageous combination of stylistic influences such as minimal music, electroacoustic or imaginary folk music. The cd-version adds several more tracks and broadens the spectrum of the six core tracks by interlacing them with field recordings and weaving the whole into a soundtrack-montage, considerably exceeding the lenght of a standard pop album. Using field recordings as a basis, the tracks combine acoustic instruments (double bass, harmonium, recorder, voice) with synthetic sounds derived from analogue sources and digital processing. In the exploration of unusual timbres, sounds and harmonies, softland uses his limited instrumental technique as consciously as chance algorithms, software abuse and an alchemistic trial-and-error strategy within compositional structures. By layering, filtering, cuttting and pasting, what seemed a lack of precision grows into a dense structure of intricate rhythms and complex harmonies. The end result retains pop and club culture as core reference points while at times stretching the boundaries of these genres beyond recognition. ...
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... musiklandet.se & skanesfria.nu ...
... SOM ATT BLANDA PLANKSTEK MED BILLIG LIDL–KETCHUP ...
... 2 October 2005 ...
... Fältknaster från alperna
Jag fastnar mer eller mindre direkt för det inledande spåret "Please confirm The World" med sitt snygga knastrande beat och avlägsna flöjter. Det hela blir tyvärr betydligt mindre intressant när Christof Steinmann öppar munnen och tar ton med sin dekadenta, oengagerade röst. Just i "Please confirm the world" kan jag stå ut med det och rentav acceptera det eftersom det händer så pass mycket i musiken att rösten inte lyckas lägga sig som en trist och grå dimma ovanpå det praktfulla bygget. Knaster, synthstråkar, östeuropeiska stränginstrument och mycket utöver detta får plats och självklart smälter hjärtat, om man nu har något sådant.
Softland är Zürich-killen Steinmanns alias och "War againstt error" hans andra uppföljare. Debuten begåvades med den smått genialiska titeln "One is a very small crowd". Det som utmärkt Softland är förmågan att gå från melankolisk pop till knasterelektronika för att sedan ta en omväg genom folk-inspirerade passager som oftast byggs upp av fältinspelningar och riktiga instrument som harmonium.
Det låter i teorin alldeles utsökt. Det håller ni säkert med mig om. Tyvärr är det inte många gånger lika roligt i de övriga 21 spåren som det var i inledande "Please confirm the world". "Moiré", "Huch", "Ich hab dir nachgedacht", vackert blippiga "mlle." med äkta stråkar och "Hoppla" når dock upp i samma klass som i inledningen och stundtals även högre men även om 6 spår av 22 är riktigt bra så betyder det att det finns en otrolig massa utfyllnad. Utfyllnad som i det här fallet låter som något en 16-åring gjort i valfritt Sequencer-program på datorn och lagt över en fältinspelning av fågelkvitter.
Om Christof Steinmann hade tagit bort minst 10-12 låtar hade "War againstt error" hållit oerhört hög kvalitet rakt igenom men nu känns det mest som att blanda plankstek med billig Lidl-ketchup.
Alex Regnér ...
Release
SM021CD012/SM021LP006 09/2005
Artist
Christof Steinmann
Programming, Synthesizers, Double Bass, Harmonium